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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 17:31
Je suis inquiet… j'ai l'impression d'être de moins en moins con.
En plus, de plus en plus de gens m'apprécie, ce qui tend à prouver que mon niveau de connerie descend.
Je suis plus patient, plus tolérant, moins pressé, plus aimable, moins agressif.
J'ai le regard apaisé, bien que l'anxiété qui me possède ne baisse pas, au contraire.
Mon comportement est de moins en moins en adéquation avec ce que je vis, et pourtant je me sens de mieux en mieux à ma place. Planté dans ma vie.
J'aime les gens, et ils me le rendent. Ils ne m'aimaient pas, et je leur rendais. Pas simple tout ça…
Pourtant, j'ai la certitude que cet état ne sera que très provisoire. Immanquablement, je vais redevenir con, attestant le proverbe qui dit que "quand on nait con, on est con".
Une vieillesse acariâtre va remplacer une jeunesse rebelle.
On me pardonnera comme on m'a déjà pardonné, mais pour d'autres raisons.
L'âge canonique remplacera la fougue de la jeunesse; il me sera une fois de plus démontré que les autres sont mes amis, si seulement je le veux.
Mais comme avant je ne le voyais pas, là je ne le verrai plus.
Je commence à être triste du con que je vais devenir, à peine consolé de celui que je fus.

Mais balayons tout cela. Carpe diem!
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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 12:51
La société française se rapproche du dogme religieux par l'exécutif.
Le virage s'est amorcé avec les lois EVIN sur le tabac et l'alcool. Au début pas ou peu appliquées, elles sont entrées dans une phase active.
Mais il n'y a pas que cela. Le SIDA, les accidents de la route, tout est justification à induire le comportement préconisé dans les canons coraniques et ou judéo-chrétiens.
Les dernières parutions sur l'addiction sont particulièrement explicites, extraits: "il y a plusieurs sortes d'alcooliques : ceux qui boivent en grande quantité, juste le week-end, un peu tous les jours, à l'occasion, ceux qui développe un rituel autour de la consommation" (les gourmets par exemple).
On pourrait croire que ne sont alcooliques que ceux qui boivent? Pas du tout! Il y a les alcooliques qui ne boivent pas mais qui se retiennent!! En fait, même la pensée est corrompue… cela ne vous rappelle rien?
Bien sur, monsieur le curé ne crache pas sur le vin de messe. Par contre, il met le préservatif à l'index (monseigneur Decourtray novembre 1988)…
Pour faire bonne mesure et surtout ne pas être taxé d'anti machin ou anti chose, les organisations plus ou moins officielles ne sont pas en reste. Nombre de nos "têtes de gondoles" affichent leur appartenance à tel ou tel groupement (pour ne pas dire groupuscule). Clubs et autres cercles que l'on peut, sans se faire étiqueter "théoricien du complot", soupçonner d'actions politiques. Même animés des meilleures intentions, ces organisations influentes orientent les choix politico-économiques sans trop nous demander notre avis.
D'un autre côté, on peut aussi comprendre qu'une minorité éclairante vaille mieux qu'une majorité aveugle… mais là n'est pas le propos de ce que je n'ose appeler un article.
Les gouvernants de conscience sont en train d'aseptiser notre vie, la rendant sans saveur.
L'adrénaline est en passe de devenir le poison à la mode, servant à faire peur. 
Dans une société en crise :
     - système financier en faillite
     - système éducatif délité
     - famille en perpétuelle recomposition (décomposition)
     - difficulté, voire impossibilité de se loger, même avec un salaire
     - fragilité de l'emploi,
nous avons besoin de "faiseurs de monde".
Refaire le monde a changé de statut : c'était un plaisir entre potes une bière à la main, c'est devenu un business. Le business du pouvoir absolu.
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1 mars 2009 7 01 /03 /mars /2009 15:58
Ma dernière toile. J'en suis très satisfait.



Pour la voir en plus grande taille, cliquez sur l'image.
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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 11:46

On passe une partie de sa vie à ne pas savoir…

Cette partie est plus ou moins importante selon notre histoire, et notre ouverture.

A mes 49 ans, un voile semble se déchirer… le problème est que je ne parviens pas à savoir si le voile qui se déchire s'appelle vérité, ou si Vérité se trouve derrière.

Doit-on obligatoirement renoncer? Renoncer à ce que nous étions pour ce que nous sommes, ce que nous allons devenir?

Ne peut-on pas accepter nos changements comme des mues successives, douloureuses, nécessaires? Nécessaires à quoi?

Il faudrait pour y voir une nécessité, croire en un destin plus général. Or, il n'en est rien à mes yeux.

Les souffrances sont inutiles, et les mutations inévitables.

Alors comme une plume sur la mer, je vais essayer de ne plus lutter.

Je vais essayer de ne pas avoir honte de ce que je fus, et tenter de vivre ce qui me reste sans trop me cogner.

J'ai expérimenté l'égoïsme total. Son confort n'apporte que tristesse et ennui.

Je vais me (re) tourner vers les choses, les gens.

Je vais regarder d'autres horizons, d'autres perspectives.

Je vais cesser de regarder de haut ou de face, pour voir, et pour voir.

La solitude doit aussi être expérimentée. La vraie, celle que l'on se construit.

J'ai érigé de puissantes murailles, et les démolir va me prendre beaucoup de temps et d'énergie.

Je vais ouvrir la porte à mes démons, pour les faire sortir, en sachant que d'autres vont se précipiter sur moi.

Mais j'ai pris également conscience de l'inéluctable fatalité.

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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 16:29

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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 19:44
Je me réveille comme tous les matins, les sourcils froncés, le cheveux en bataille, le geste lourd.
Comme tous les matins d'hiver, je capte chaque particules de lumières, don que j'ai depuis l'enfance, pour me diriger sans allumer la lumière.
Je mets la cafetière en route, et ce n'est qu'au bout de quelques minutes que je m'aperçois que j'ai oublié de mettre le café. L'eau chaude le matin, c'est juste bon pour me raser, me laver les dents (car je suis un être fragile et délicat), et me doucher.
Mais nous n'en sommes pas là.
J'allume le micro ordinateur, m'étonnant de cette couleur inhabituelle signalant soit un virus, soit une fatigue définitive et coûteuse de l'écran.
Comme tous les matins, mon chien me suit du regard, attendant patiemment le signe de la promenade.
La conscience vient peu à peu, lentement, inexorablement. La conscience, puis l'évidence: je ne suis pas celui que je suis. Je suis un martien. Un étranger.
Allochtone plus de moi-même que des autres, finalement.
Le malaise qui m'habite (de cheval) est terrifiant. Une certitude s'impose à moi: je dois retrouver celui que je suis. Je suis quelque part, là, tout près! Etrange amnésie… serait-elle volontaire? Fut-elle une sauvegarde face à un danger? Une fuite? Comment admettre d'être autrement?
Mais… depuis combien de temps suis-je quelqu'un d'autre? Enfin, pas tout à fait moi? Question obsédante, qui me tue le réveil.
Je rassemble mes souvenirs, les mets en paquets de cinq, puis de dix, et rien d'évident n'apparaît. Je ne suis pas moi-même depuis très longtemps… si longtemps que je me demande si je fus un jour, un seul moi-même.
Il ne s'agit pas d'une différence entre mon esprit et mon corps… non… mon corps est ce qu'il est, et j'ai appris à m'en satisfaire avec bonheur. Mon esprit semble être duel. Une cacophonie plutôt qu'une stéréophonie.
J'accepte sans complexe ma part de féminité. Il ne s'agit pas non plus de cela. J'accepte avec fierté ce côté macho qui me vaut tant de conquêtes.
Alors quoi, par saint Couillebeau ! Une vérité se fait jour: nous sommes une somme, parfois une moyenne de variables: émotions, vécu, appris, culture, gènes… les variables… varient, bien sur! Et nous transforme continuellement.
L'anamorphose de notre masque est perpétuelle, continuelle. Nous ne pouvons nous baser sur une constante, mais sur plusieurs. Notre regard agit comme un système optique imparfait, tantôt flou, tantôt taché, mais jamais irréprochable.
Qui peut prétendre se connaître. Qui peut se penser constant?
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1 novembre 2008 6 01 /11 /novembre /2008 06:25
Une émission qui ne restera pas dans mes anales, mais oui, là… beaucoup plus bas…
Une vraie star, Johnny, dont la présence purement mercantile était un peu trop évidente.
Un bon chanteur, Raphael, qui n'a rien fait pour cacher à quel point ça l'em… de venir, mais bon, faut bien s'vendre, hein?
Des pseudos stars de 15-16 ans qui vendent pour 25 millions de dollars de soupe mille fois réchauffée, confirmant le vieil adage qui dit que c'est meilleur réchauffé.
Un jury qui ne cache absolument plus les dissensions, au point même que je me demande ou ce "lâchage" va s'arrêter.
Je ne parlerai même pas de ces multiples co hach qui surfent sur la vague de la snobinocratie (forme aggravée, voire terminale de la snobocratie. Co hach mental, physique, émotionnel…. Mouarff!!!!!
Et les élèves dans tout ça, me direz-vous?
Et bien il advient ce qui doit advenir: des élèves d'une grande fadeur:
Mikels qui joue les gigolo auprès de la vénérable Espagne.
Joanna, voix mille fois entendue, perdue sur une vraie ineptie "musicale" vociférée par une ado énervée.
Edouard, bibloubant sur une reprise accélérée d'un tube éculé des années 40 ou 50, au côté d'une star internationale mondialement connue, sauf de moi.
Gautier en crooner, faut voir ça avant de mourir. De rire.
Anissa veut pas montrer ses fesses, et bien elle doit mettre des pantalons long, ou d'autres vêtements qui sont plus adaptés à ses convictions. La meilleure ce soir, malgré tout.
Solène chante de plus en plus faux, hier j'ai du zappé.
Quentin, c'est presque pire. Il veut être autre chose que ce qu'il est. Il doit absolument resté dans son rôle sobre et profond de chanteur à texte, et arrêter de vouloir entrainer la foule dans des battements de mains pitoyables avec un air de bravade qui ne sied pas du tout à sa carrure de moineau. (et c'est mon favori…)
Alice, que j'adore, est une anomalie: quand on la regarde pas chanter, c'est faux, pas en place, pas en rythme, les paroles tombent à côté, quand elles sont justes.
Quand on la regarde, on est captivé et tout passe. Une interprète de grand talent!
Maryline, c'est fade, sans âme, sans attrait, sans personnalité, sans nouveauté. Ronronnant.

Yvane.
Alors là, je dois le saluer bien bas, bien que n'étant pas son plus grand fan. Il a fait une sortie dans la dignité, très propre. Au bon moment, si ce n'était les centaines de pauvres gens qui ont voté pour lui en investissant leur euros dans les téléphones.

Un bon moment cependant dans cet épisode: le duo Joanna Quentin.

En bref, l'échec de la starac me fait de la peine, car c'était une étape plaisante dans l'année. Je souhaite qu'elle renaisse avec un niveau d'exigence et des objectifs plus ambitieux.
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6 octobre 2008 1 06 /10 /octobre /2008 17:35

A vous qui passez et prendrez le temps de lire ces quelques lignes, sachez que j'ai parfaitement connaissance de ce qu'est "une théorie du complot", et que cet écrit peut parfaitement y être catalogué.
Je pense néanmoins que nous ne devons plus avoir peur du ridicule et oser ce genre de débat.
Je le provoque intentionnellement, en espérant que nos âmes ne sont pas trop corrompues, nos cerveaux pas trop sclérosés, et nos volontés point trop nivelées.
Depuis des décennies, les plus grandes fortunes de la planète ont formé une alliance. Alors peut-être n'était-elle pas explicite au départ, sans doute n'était-elle que l'expression d'une solidarité de caste.
Mais maintenant, elle fonctionne suivant des structures bien rôdées, éprouvées.
Ne croyons pas que les stratégies soient du même niveau lorsqu'il s'agit de gagner un filet garni à la belote, ou d'un ou deux milliards de dollars!
Pourtant, la cause est la même, moulée dans nos profondeurs humaines: le gout de la victoire.
Les 50 familles les plus fortunées jouent un Monopoly géant, s'échangeant des villes, des pays entiers, le but étant d'accroitre leurs avoirs. Ils se protègent en grandissant, suivant le bon vieux proverbe: "plus on est gros, plus on est durs à avaler".
Ils mettent en place leurs chiens de paille, que l'on appelle "monsieur le Président, ou Son Altesse", et nous courrons après ces leurres.
Ils catalysent la lumière, les invectives, les horions, focalisent l'aigreur, l'animosité, la mauvaise humeur; et pendant ce temps là, les vrais gouvernants agissent tranquillement.
Leurs moyens, à part le noyautage des états:

-          La drogue

-          Les armes

-          L'énergie

-          La corruption

-          Le banditisme (MAFIA par exemple, mais aussi indépendantistes divers)

-          La guerre

-          La communication.
Grâce à cette dernière, l'esprit des masses est formé à une forme de pensée:
-          la drogue c'est mal, (pourquoi on la vend (si cher), on la cultive???)
-          les armes sont nécessaires pour se défendre (et pour attaquer, on se sert de tomate mûres?
-          L'énergie c'est le pétrole. (pourtant, les véhicules à piles à combustibles fonctionnent et sont fiabilisés depuis l'année 2001)
-          La corruption ne concerne que les ripoux. (pourtant, nous sommes tous corrompus. Regardez-vous dans les yeux!)
-          Le banditisme permet de contrôler les nouveaux pauvres: ceux qui ne meurent pas de faim, tout en étant en situation de précarité. Tant au niveau des acteurs, que des spectateurs.
-          La guerre est l'ultime recours. Utiliser de façon chirurgicale, le moyen orient par exemple est un laboratoire très performant, la guerre est un élément fédérateur extraordinairequi permet de tout masquer.
La communication est elle un outil fantastique, doté de tellement de vecteurs que tout le monde peut être touché, même les pauvres gens qui ne mangent que grâce aux sac de riz étiquetés USA, ONU. Et la radio.
La plupart des aides humanitaires, de bonne foi, apportent les moyens de communication à ceux qui n'ont pas à manger, permettant ainsi à la gouvernance d'étendre par delà les mers, mais également par delà la souffrance, son pouvoir omnipotent.
Cette gouvernance exerce avec subtilité et discrétion ses fonctions régaliennes.
La crise économique actuelle permet à ces quelques familles de rançonner des dizaines d'états. Elles viennent piller les ressources! Mais ne vous inquiétez pas. Pour que le système fonctionne, il faudra un jour ou l'autre qu'il redémarre. Il suffit d'être patients…
Alors bien sur, le combat est perdu d'avance. Les idéaux n'ont aucune chance à long terme, contre la stratégie et le pouvoir du pouvoir.
En attendant, n'oubliez pas que la vie est un bien plus que précieux: unique. Ne vous laissez pas endormir, mais ne vous révoltez pas inutilement.

Une tête est moins dure qu'un mur.

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 15:32

Les banques coulent, les indices boursiers perdent 20% en 3 jours, on nous annonce un crack pire qu'en 1929, et …

Aujourd'hui, les bourses sont à la hausse de 6%.
En une semaine, certains se sont fait des fortunes.
Imaginez un milliardaire en dollars ou euros, peu importe.
Il possède par exemple 10 milliards de dollars. Il fait baisser les actions, son capital n'est plus que de 9 milliards.
Ça l'empêche de dormir? Que nenni! Par contre, les petits porteurs perdent eux non pas 10% de leur capital, mais beaucoup plus! Et même ceux qui ne perdent que 10%, cela les fragilisent beaucoup plus que notre ami milliardaire.

Alors il vend ses actions, que notre milliardaire rachète une misère.

Dans le même temps, les banques durcissent les conditions d'attribution du crédit, donc l'immobilier chute.
Notre milliardaire achète à New York, Londres, Paris, des appartements et hôtels particuliers sous le prix réel.
Puis, "comme par hasard", au bout de quelques jours (en ce moment, ils ne se sentent plus. Avant, ils laissaient passer quelques semaines, quelques mois), les cours remontent, et tout reprend de la valeur.

Notre milliardaire, en une semaine, est passé de 10 milliards à 9 puis 12 milliards.

Joli coup!

Quand je vous dis qu'ils nous prennent pour ce que nous sommes!

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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 16:01

Naître libres et égaux en droits est un concept chimérique.
Nous naissons esclaves de notre patrimoine génétique, de la condition sociale de nos parents, du climat, de l'environnement culturel… bref! Nous ne naissons surtout pas libres.
Suivant le régime politique de notre lieu de naissance, nos droits vont considérablement varier, ainsi que notre place dans l'organisation sociétale.
Mon propos n'est pas de défendre un modèle plutôt qu'un autre, mais bien de souligner qu'il existe plusieurs modèles, et que c'est cela la normalité.
Les lions ne vivent pas comme les gazelles, les poissons comme les vaches; cependant, tous ont des besoins communs, et ce n'est pas différent pour l'Homme.
Je vais faire un zoom sur ce qui est devenu l'affrontement "homme/femme".
La femme n'est pas l'égale de l'homme. C'est ainsi, et il n'y a pas à y revenir. Les différences sont physiques, comportementale, mais aussi, et c'est fondamental, sur la façon de percevoir le monde, de l'analyser, et de s'y adapter.
Il n'est pas question de dire que l'une est meilleure que l'un, ou que l'un est plus fort que l'une. Les différences sont des réalités élémentaires.
Le combat des féministes est nécessaire, mais il est dangereux.
Il n'est que de voir les deux blocs en formation:
Le bloc "occidental", porteur de bonnes paroles et de progrès social depuis l'inquisition, et le reste du monde.
Dans le bloc occidental, l'homme a de plus en plus de mal à trouver sa place.
La virilité n'est plus de mise, l'honneur en est réduit à ne pas demander le sel à table par fierté.
L'homme n'ose plus jouer à celui qui pisse le plus loin. Les bagarres sont devenues signe de faiblesse, tandis que la soumission, voire la servilité un signe d'intelligence.
Pire encore, l'homme est décrit systématiquement, tous les jours, plusieurs fois par jour souvent, comme un violeur, un terroriste. Lorsque c'est en couple qu'ils violent et assassinent, la femme est innocentée: elle avait peur!!

L'homme est présenté comme une bête nuisible.

Pour couronner le tout, les pubs assénées plusieurs fois par jour montrent l'homme bête au point d'attendre l'autorisation de Perrette pour saucer les trois grammes de jus incolore entourant un poisson blanchâtre.
Dans le reste du monde, l'homme défend sa place. Dans une partie de ce reste du monde, les rapports se radicalisent et s'adaptent: on sort des maillots de bains conformes à la loi islamique, par exemple; la fréquentation des écoles de geishas est en augmentation.

Alors?

Nous jouons avec le feu! Acceptons l'Humain tel qu'il est foncièrement, structurellement, naturellement.
Après tout, il parait que pendant les premières heures, nous sommes tous des filles. Rappelons-nous que nous sommes l'autre, que nous aurions pu l'être… et respectons-le comme nous devons nous respecter.
Ce n'est pas en désignant l'homme comme un sot qu'on que la femme ne sera plus "impure", mais en laissant chacune et chacun occuper la place qui est la sienne.

Sans vrais hommes, les femmes vont "s'ennuyer grave".

Allô! Mademoiselle? Ne coupez plus s'il vous plait!

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